... un film qui n'appartiendra jamais aux grandes oeuvres du cinéma français :

Inutile de vous faire languir, je vais être claire et concise : ce film est une daube. Ca aurait pu donner quelque chose mais, HAHA, non ça n'a pas pu.
Pourquoi qu'j'en parle ? C'est parce que ce film a été fait dans les règles de l'art daubesque, à savoir qu'en plus d'être mauvais, il se prend au sérieux (note pour plus tard : je peux désormais proposer un top 3 des films ratés-mais-qui-se-la-pètent-en-plus. Cf Les chevalier du ciel et La boîte noire en post du 23 avril).
Pourquoi qu'j'en parle ? C'est parce que ce film a été fait dans les règles de l'art daubesque, à savoir qu'en plus d'être mauvais, il se prend au sérieux (note pour plus tard : je peux désormais proposer un top 3 des films ratés-mais-qui-se-la-pètent-en-plus. Cf Les chevalier du ciel et La boîte noire en post du 23 avril).
L'enfer... C'est quoi donc son problème ? Probablement une esthétique lourde, caractérisée par des plans arrogants et des effets de style marqués... une forme, en somme, qui nous crie sa présence, qui nous crie son ingéniosité et qui nous recrie qu'elle en jette. Rien de bien méchant jusque là, pourtant : quel film n'aurait pas le droit de se dandiner vaniteusement et de faire le beau ?
Ouais, sauf que dans le cas présent, vous l'aurez compris (si vous suivez, évidemment), bah ça marche pas. La raison me semble assez simple : empaqueter son film comme un oeuf de Pâques alors que le fond n'est pas à la hauteur, que le sujet est mal traité ou que la mise en scène laisse à désirer, ben ça craint du boudin, Germain.
A noter aussi, quelques détails qui jurent. Notamment une Carole Bouquet vieillie qui évoque d'avantage ceci (et je n'exagère pas, je vous assure)...

Ouais, sauf que dans le cas présent, vous l'aurez compris (si vous suivez, évidemment), bah ça marche pas. La raison me semble assez simple : empaqueter son film comme un oeuf de Pâques alors que le fond n'est pas à la hauteur, que le sujet est mal traité ou que la mise en scène laisse à désirer, ben ça craint du boudin, Germain.
A noter aussi, quelques détails qui jurent. Notamment une Carole Bouquet vieillie qui évoque d'avantage ceci (et je n'exagère pas, je vous assure)...

...plutôt qu'une sextagénaire dont on a tenu à bien montrer qu'elle est profondément grave, profondément sombre, profondément muette, bref, profondément quoi. Etrange par ailleurs : impossible, sur le net, de trouver une seule photo du film où l'on voit la belle dame en mémé. Mais pas si étonnant quand on sait que les maquilleurs travaillent aussi, et sûrement, avec le Père Fourasse. Des détails, disais-je, car à ce niveau-là de la compétition, on en est plus à un trouble près.
Le pire, c'est que tout n'est pas mauvais. Les comédiens se défendent bien, l'histoire suscite un certain intérêt et quelques scènes m'ont faite flipper. Mais ça ne suffit pas pour rattraper... à peu près tout le reste. Et là, j'ai envie de dire : Chié ! C'est vrai quoi, j'y ai cru presque jusqu'au bout et tout, même que j'avais lu les critiques qui le défigurent, le film, mais non, j'ai voulu alors j'ai vu.
J'ai donc commencé par me dire que je regardais un navet mou et français(1), avant de conclure, agacée, que ce film, d'où qu'il vienne, m'a baffouée de son narcissisme mal contenu. Que voulez-vous, parfois la magie s'opére et sans qu'on puisse vraiment la voir venir, -wouah, que d'émotions- une daube voit le jour.
Pour conclure, je voudrais tout de même signaler que le réalisateur n'a pas tout loupé. Non. On sent bien sa touche perso dans ce soi-disant drame, qui, comme toute daube qui se respecte, trouve son apogée à la note finale.
Voilà, ben j'crois que j'ai tout dit. Evidemment, si vous l'avez vu, vos commentaires sont les bienvenus...
Allez, pour finir et pour rappeler que si la critique est aisée, l'Art, lui, est vraiment difficile, voici une blague Carambar (ouais, j'avais envie...). Donc voilà *hum hum* :
Le pire, c'est que tout n'est pas mauvais. Les comédiens se défendent bien, l'histoire suscite un certain intérêt et quelques scènes m'ont faite flipper. Mais ça ne suffit pas pour rattraper... à peu près tout le reste. Et là, j'ai envie de dire : Chié ! C'est vrai quoi, j'y ai cru presque jusqu'au bout et tout, même que j'avais lu les critiques qui le défigurent, le film, mais non, j'ai voulu alors j'ai vu.
J'ai donc commencé par me dire que je regardais un navet mou et français(1), avant de conclure, agacée, que ce film, d'où qu'il vienne, m'a baffouée de son narcissisme mal contenu. Que voulez-vous, parfois la magie s'opére et sans qu'on puisse vraiment la voir venir, -wouah, que d'émotions- une daube voit le jour.
Pour conclure, je voudrais tout de même signaler que le réalisateur n'a pas tout loupé. Non. On sent bien sa touche perso dans ce soi-disant drame, qui, comme toute daube qui se respecte, trouve son apogée à la note finale.
Voilà, ben j'crois que j'ai tout dit. Evidemment, si vous l'avez vu, vos commentaires sont les bienvenus...
Allez, pour finir et pour rappeler que si la critique est aisée, l'Art, lui, est vraiment difficile, voici une blague Carambar (ouais, j'avais envie...). Donc voilà *hum hum* :
-Je suis inquiet, je vois des points noirs.
-Tu as vu l'occuliste ?
-Non, des points noirs !
Bises et bon week-end...
-Tu as vu l'occuliste ?
-Non, des points noirs !
Bises et bon week-end...
1 : il n'y a pas de relation de cause à effet mais j'aime bien évoquer le pays natal du navet, car le navet n'est pas que mauvais, il est culturel aussi.
3 commentaires:
comme j'ai plein d'idées préconçues je ne vais JAMAIS voir un film où il y a:emmanuelle béart,juliette binoche,annie girardot,isabelle huppert ,sandrine bonnaire..et j'en oublie...
ça me dispense des navets français mais pas des américains qui,eux,n'ont pas la prétention d'être plus que ce qu'ils sont...
vive les intellos français!!
Je ne verrai donc pas ce film qui ne me tentait pas trop à vrai dire; ayant essayé d'élever mon niveau cinématographiqe le week-end dernier et n'ayant tenu que 26 minutes sur "8 femmes" de Ozon.
Je m'en tiendrai à ma vidéothèque préférée, dont le sublime Rambo III La Mission, est en tête de gondole.
Non, trève de plaisanterie, je me suis attaqué, suite aux conseils (avisés?) d'une collègue de boulot, à "And now, Ladies and gentlemen" de notre Lelouch....
Je ne connaissait lelouch qu'au travers d'Itinéraire d'un enfant gâté; j'aurais dû en rester là...
On s'fait chier, mais on s'fait chier d'une force; j'ai même piqué de l'oeil un quart d'heure pendant le film, et il se passait toujours rien; du vide...
Et quand tu parle du père fourrasse: au début, Jeremy Irons entre dans une bijouteries; Il ressort, et là, sous nos yeux ébahis par les miracles de la technique moderne, on voit re-rentrer dans la même bijouterie Jeremy Irons déguisé en père fourrasse; ouahou le suspens, mais que vat-il se passer???
ben tout est là : il se passe rien dans ce film moisi oû des gens qui "pourraient" avoir une vie digne d'intêret; et ça retombe comme un soufflé trop cuit. Rien ne passe : ni sentiment, ni jeu d'acteur, ni réalisation: Une daubasse de chez Daubasse. Une perte de temps, peut-être moins insupportable que "Caché" de Hanéké, mais c normal car il reste indétrônable.
La seule chose sur le film de Lelouch, c'est beaucoup de chansons de Patricia Kass pour ceux qui aiment; c'était malheureusement pas mon cas. Donc j'en ai vraiment chié jusqu'au bout. mais là aussi , si d'autres personne ont franchit le cap sans dormir, merci de donner votre avis.
A +
Et nathalie, tu n'y échappera pas, tu auras rien que pour toi "fou d'irene" quand tu passeras sur nice
Bisou
Toute ces histoires me donne faim d'une bonne salade !
car il vaut mieux le manger que de regarder un navet...
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