Sûr oui ! Au moins depuis... un mois ?
Certes, certes... le 1er tour est passé et le grand winner de la soirée c'est... le taux de participation évidemment (hihi), les français sont si... français ; j'aime beaucoup ça.
Mais encore. Au coeur du débat : le citoyen, icône traditionnellement très "in" mais uniquement en période électorale, qui est sur le devant de la scène depuis un petit bout de temps. Depuis 2002 peut-être ; ben oui, faut se rappeler à l'époque, une radicalité certaine est arrivée au 2nd tour de la présidentielle et c'est alors qu'on se demanda : "Mince, où est-il le citoyen, celui qui tient la démocratie entre ses mains ?" (La tient-il réellement, d'ailleurs ?)
Bref, depuis un mois, oui, ledit citoyen est chouchouté par nos politiques, on le flatte, le rassure, l'encourage... en d'autres termes, on l'aime. On nous aime. Mais pour combien de temps ?
Et bien... il semble (malheureusement, ce n'est pas une certitude) que les choses évoluent un peu, et ce, notamment par le biais d'un certain Bayrou qui s'est montré, le soir des résultats du 1er tour, plutôt... très fin, en annonçant fièrement quelque chose comme "Nous avons gagné. Plus rien ne sera comme avant". Depuis, le fougueux s'immisce donc (s'incruste ?) dans la confrontation attendue gauche-droite, pour ouvrir le débat (à moins que ce ne soit pour choper quelques places de choix... probablement un peu des 2) et du coup, ben du coup le débat s'ouvre.
Enfin, il s'ouvre... surtout coté PS en fait (ça les arrange un peu, faut dire) parce que l'Ump, et en particulier son candidat, n'ont pas l'air d'apprécier le 3ème Homme de la situation, celui qui a surgit hors de la nuit, pour faire (quand même) l'aventure au galop. En vrai, je crois qu'il boude un peu, Nicolas. "Mais heu, c'est pas du jeu. On devait être que tous les deux d'abord, il a rien à faire là, lui là-bas". Il a la contrariété mauvaise, je l'en remercie car ça fait longtemps : que l'on retrouve un peu de Nico dans cette élection, qu'il redevienne naturel, bordel. Où est-il passé, le bon vieux temps de son ambition débordante et de ses appréciations simplistes et sectaires, le bon temps où il était gracilement grossier et colérique ?
Je ne m'attendais pas à ce petit virage (ma réfléxion politique est assez limitée mais ça fait toujours bien de dire ça) et aujourd'hui, je suis agréablement surprise par ce qui se joue, un espoir peut-être, de malice, d'écoute active, d'élan nouveau...
Moi, naïve ? Peut-être, mais j'ai envie d'imaginer... une politique plus noble pour le peuple, une politique qui, si elle s'unifiait d'avantage, pourrait bien servir d'exemple (une fois n'est pas coutume).
Fin bon, qui vivra... vivra. Une petite note sans gravité pour souligner le mouvement (l'évenement ?) qui se déroule en ce moment. De la fraîcheur politique sans agressivité, du moins de mon petit point de vue.
Sur ce... bonne journée.
Certes, certes... le 1er tour est passé et le grand winner de la soirée c'est... le taux de participation évidemment (hihi), les français sont si... français ; j'aime beaucoup ça.
Mais encore. Au coeur du débat : le citoyen, icône traditionnellement très "in" mais uniquement en période électorale, qui est sur le devant de la scène depuis un petit bout de temps. Depuis 2002 peut-être ; ben oui, faut se rappeler à l'époque, une radicalité certaine est arrivée au 2nd tour de la présidentielle et c'est alors qu'on se demanda : "Mince, où est-il le citoyen, celui qui tient la démocratie entre ses mains ?" (La tient-il réellement, d'ailleurs ?)
Bref, depuis un mois, oui, ledit citoyen est chouchouté par nos politiques, on le flatte, le rassure, l'encourage... en d'autres termes, on l'aime. On nous aime. Mais pour combien de temps ?
Et bien... il semble (malheureusement, ce n'est pas une certitude) que les choses évoluent un peu, et ce, notamment par le biais d'un certain Bayrou qui s'est montré, le soir des résultats du 1er tour, plutôt... très fin, en annonçant fièrement quelque chose comme "Nous avons gagné. Plus rien ne sera comme avant". Depuis, le fougueux s'immisce donc (s'incruste ?) dans la confrontation attendue gauche-droite, pour ouvrir le débat (à moins que ce ne soit pour choper quelques places de choix... probablement un peu des 2) et du coup, ben du coup le débat s'ouvre.
Enfin, il s'ouvre... surtout coté PS en fait (ça les arrange un peu, faut dire) parce que l'Ump, et en particulier son candidat, n'ont pas l'air d'apprécier le 3ème Homme de la situation, celui qui a surgit hors de la nuit, pour faire (quand même) l'aventure au galop. En vrai, je crois qu'il boude un peu, Nicolas. "Mais heu, c'est pas du jeu. On devait être que tous les deux d'abord, il a rien à faire là, lui là-bas". Il a la contrariété mauvaise, je l'en remercie car ça fait longtemps : que l'on retrouve un peu de Nico dans cette élection, qu'il redevienne naturel, bordel. Où est-il passé, le bon vieux temps de son ambition débordante et de ses appréciations simplistes et sectaires, le bon temps où il était gracilement grossier et colérique ?
Je ne m'attendais pas à ce petit virage (ma réfléxion politique est assez limitée mais ça fait toujours bien de dire ça) et aujourd'hui, je suis agréablement surprise par ce qui se joue, un espoir peut-être, de malice, d'écoute active, d'élan nouveau...
Moi, naïve ? Peut-être, mais j'ai envie d'imaginer... une politique plus noble pour le peuple, une politique qui, si elle s'unifiait d'avantage, pourrait bien servir d'exemple (une fois n'est pas coutume).
Fin bon, qui vivra... vivra. Une petite note sans gravité pour souligner le mouvement (l'évenement ?) qui se déroule en ce moment. De la fraîcheur politique sans agressivité, du moins de mon petit point de vue.
Sur ce... bonne journée.