28 avril 2006

Après la fête, le mal de tête

Les soirées festives (déchiffrer : avec musique, amis et alcool à l'appui) sont le testeur idéal de votre état d'esprit. Il suffit d'attendre le lendemain matin.

La fatigue est mère d'une lucidité embrumée.

Soit vous êtes mou et appaisé : c'est une journée propice pour larver avec un bon bouquin, un bon film, une bonne musique ou un bon cassoulet.
Soit vous êtes mou et déprimé : c'est une journée qui n'est propice à rien, il aurait mieux valu dormir jusqu'à ce que les bisounours viennent vous chercher.

En ce qui me concerne, c'est jour de courses. La vie est injuste.

Me reste le libre-arbitre existencialiste : me condamner à manger des pâtes aux petits suisses tout le week-end ou me rendre au supermarché armée d'un visage et d'une énergie qui marqueront l'histoire de l'humanité à tout jamais.

Alors, qui ouvre le pronostic ?

Ce suspens insoutenable s'orne d'un signe de mauvaise augure : il fait moche dehors.

La vie est injuste.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Essayes le petit-suisse aux pâtes sinon...

Anonyme a dit…

Je repasses sur le blog après trois jours de retard, espérons que les petit-suisses sont pas périmés;
Dans le doute, cours vite au supermarché...

Faby

Anonyme a dit…

sinon le riz au petit suisse ça change..
mag